Dans le but de rendre ce diagnostic plus abordable, FPInnovations a récemment expérimenté l’utilisation de la photogrammétrie comme alternative au LiDAR. En effet,
l’utilisation d’une caméra photo combinée à un géoréférencement1 des images produit un nuage de points comparable à celui généré par la technologie au laser. Cet
amoncellement de données numériques permet de reproduire le chemin en 3D et d’identifier les zones de visibilité réduite dans
le corridor routier.
Faced with a very complex regional forest, forestry stakeholders in the Mauricie region have mobilized to create the Groupe Initiative Mauricie (GIM). This group wishes to develop a new vision of the wood industry in the Mauricie. To do so, all segments of the supply chain of the supply chain, from the forest to the mills, are analyzed in order to improve their value.
Abstract
Devant une forêt régionale bien complexe, des intervenants forestiers de la Mauricie se sont mobilisés pour créer le Groupe Initiative Mauricie (GIM). Ce groupe souhaite développer une nouvelle vision de la filière bois en Mauricie. Pour ce faire, tous les segments de la chaîne d’approvisionnement, de la forêt jusqu’aux usines, y sont analysés afin d’en améliorer la valeur.
La recherche sur les cultures intensives en courte rotation du CCFB fournit les connaissances et la technologie dont nous avons besoin pour atténuer les effets du changement climatique en améliorant la façon dont nous gérons les forêts et utilisons les produits ligneux récoltés.
Beyond military applications, drones can also be used for a variety of purposes. A team of researchers from FPInnovations is currently experimenting with potential applications in forestry. They are looking to prove, among other things, that drones could advantageously replace current methods of flying over and analyzing forests by determining the costs and benefits of this technology.
Abstract
Au-delà des applications militaires, les drones peuvent aussi servir à toutes sortes de fins. Une équipe de chercheurs de FPInnovations expérimente actuellement les applications potentielles en foresterie. Ils cherchent à prouver, notamment, que les drones pourraient avantageusement remplacer les méthodes actuelles de survol et d’analyse des forêts en déterminant les coûts et bénéfices de cette technologie.
In recent years, when high-resolution and low-altitude imaging of forests is needed for surveillance, inventorying or continuous monitoring, the tool of choice is an unmanned aerial system (UAS), commonly known as a drone. Especially useful are vertical take-off and landing (VTOL) systems, which can take off and land vertically, and which can provide detailed information in confined or hard-to-reach areas. However, when it comes to forest operational needs, one question is frequently asked: Do the added advantages of high-end systems justify their cost ($60,000), or do low-end systems ($6,000 plus a tablet) provide similar or acceptable output?
Abstract
Ces dernières années, lorsqu'une imagerie haute résolution et à basse altitude des forêts est nécessaire pour la surveillance, l'inventaire ou le suivi continu, l'outil de choix est un système aérien sans pilote (UAS), communément appelé drone. Les systèmes à décollage et atterrissage verticaux (VTOL), qui peuvent décoller et atterrir verticalement et fournir des informations détaillées dans des zones confinées ou difficiles d'accès, sont particulièrement utiles. Toutefois, lorsqu'il s'agit des besoins opérationnels des forêts, une question revient fréquemment : Les avantages supplémentaires des systèmes haut de gamme justifient-ils leur coût (60 000 $), ou les systèmes bas de gamme (6 000 $ plus une tablette) fournissent-ils un rendement similaire ou acceptable ?
Forests make up nearly 35 per cent – 347 million hectares – of Canadian land. For the forest sector, that’s a lot of inventory to manage and monitor. To run any successful business, inventory needs to be monitored. That’s why researchers at the Canadian Wood Fibre Centre (CWFC) are enhancing current inventory systems to improve how forest managers, provincial governments, and other communities across Canada manage forests.
Des chercheurs primés du Centre canadien sur la bre de bois du Service canadien des forêts (CCFB/SCF) mènent cette recherche génomique dans le cadre d’un projet appelé FastTRAC (Fast Tests for Rating and Amelioration of Conifers / Tests rapides pour l’amélioration des conifères). Ces travaux transforment les programmes traditionnels d’amélioration génétique des arbres, ils améliorent la sélection des arbres et ils dotent les producteurs de semences de recherches et d’outils essentiels.
The FastTRAC project brought together scientists, foresters and economists from the Canadian Wood Fibre Centre, Laval University, FPInnovations, the Government of Québec, J.D. Irving, and the New Brunswick Tree Improvement Council. They demonstrated tree genomic-assisted selection at the operational scale and highlighted the economic benefits of FastTRAC technology.
Le Canada compte 347 millions d’hectares de forêt, ce qui correspond à près de 35 % de sa super cie. C’est beaucoup de stocks à gérer et surveiller pour le secteur forestier. Pour gérer avec succès une exploitation, une surveillance des stocks s’impose. C’est la raison pour laquelle les chercheurs du Centre canadien sur la bre de bois (CCFB) s’emploient à améliorer les systèmes d’inventaire actuels de manière à améliorer la façon dont les aménagistes forestiers, les gouvernements provinciaux et d’autres collectivités du Canada gèrent les forêts.
Faced with a complex forestry reality, several stakeholders in the Mauricie region have come together to form the GIM (Mauricie Initiative Group). This group, composed of industrialists and representatives of the Minister of Forests, Wildlife and Parks (MFFP), wishes to develop a new vision of the wood industry in the Mauricie region by optimizing the potential of the forest by optimizing the potential of the Mauricie forest. In this perspective, all segments of the value chain, from the forest to the mills, have been analyzed.
Abstract
Devant une réalité forestière complexe, plusieurs intervenants de la Mauricie se sont regroupés pour former le GIM (Groupe Initiative Mauricie). Ce groupe, composé d’industriels et de représentants du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP), souhaite développer une nouvelle vision de la filière bois en Mauricie en optimisant le potentiel de la forêt mauricienne. Dans cette optique, tous les segments de la chaîne de création de valeur, de la forêt aux usines, ont été analysés.